Le dictionnaire Concerto

16 mai 2023


Le secteur de l’informatique et notamment celui de l’ERP contient des abréviations et des termes spéciaux qu’il faut maitriser pour pouvoir comprendre le sujet. Voici quelques définitions sur les mots techniques les plus employés au sujet d’un ERP :

  • Logiciel ERP :

ERP est l’acronyme de Entreprise Ressource Planning traduit en français par PGI (Progiciel de Gestion Intégré). L’ERP permet de gagner en productivité grâce à l’unification des départements d’une entreprise et à l’automatisation des tâches.

Ce système rend accessible tous les processus opérationnels sous une même base de données. Ainsi, cela permet l’optimisation de la planification des services et la réduction des coûts d’une entreprise. Toutes les informations nécessaires sont disponibles en 1 clic, de l’inventaire aux commandes clients.

  • Logiciel CRM :

Le Customer Relationship Management, autrement dit, la gestion de relation client en français consiste, comme son nom l’indique, à piloter de manière efficiente la relation client. Un CRM permet de rassembler dans un seul logiciel toutes les coordonnées d’un client ainsi que l’état du prospect, son historique, ses documents…

A titre d’exemple, un commercial réalise le suivi de ses clients en notant ses rendez-vous, l’historique de ses visites et mails échangés avec le client ect.

  • Mode SaaS :

Le mode SaaS, Software as a Service vous permet d’héberger vos solutions dans un endroit externe à votre bureau comme par exemple sur un service basé sur le cloud.

  • Mode on premise :

 Le mode on premise nécessite l’installation d’une application sur les postes de travail et l’achat d’un logiciel ou d’une licence. Ceci correspond à un investissement sur le long terme pour l’entreprise car ce logiciel a une durée illimitée. Une fois le logiciel installé, les solutions seront hébergées en interne.

  • Différence éditeur / intégrateur :

Le rôle de l’éditeur est de créer le logiciel, et le rend accessible et exploitable à tout moment grâce notamment à des mises à jour. L’éditeur fait évoluer son logiciel en fonction des besoins des entreprises.

Quant à l’intégrateur, c’est un prestataire technique dont son rôle consiste à installer le logiciel chez le client et de s’assurer que tout est en place pour qu’il soit parfaitement exploitable. Il a également une mission de conseil auprès des clients. Enfin, il peut se charger de mettre en place les mises à jours chez ses clients.

Le Low-code désigne des solutions logicielles ayant pour vocation de permettre à leurs utilisateurs, de développer des applications en pratiquant un minimum l’étape codage manuelle. Grâce à une interface graphique entre le développeur, et le programme en développement, l’utilisateur peut intégrer des fonctionnalités pré-codées à son application, et les tester.

Le no-code est simplement un low-code poussé à l’extrême. Il promet d’offrir la possibilité de créer des applications, sans entrer une seule ligne de code à la main. Il se destine notamment aux services métiers qui, du fait de la digitalisation, doivent assurer une réactivité croissante.

  • Open source :

Un logiciel Open source est conçu de sorte que tout le monde peut consulter ou modifier le code source.

  • Hébergement web :

Un hébergement est un endroit dans lequel nous pouvons stocker des données d’une entreprise. Ça peut être physique comme les data centers ou digital comme un cloud.

  • Data center :

Un data center est un centre de données dans lequel toutes les données d’une entreprise sont hébergées. Ce regroupement permet de sécurisé les transferts d’informations et d’assurer une maintenance.

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